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À LA CHALEUR
DES ANNÉES FROIDES

SYNOPSIS

À La Havane dans les années soixante, il y avait 140 salles de cinéma. Il ne reste qu'une douzaine  aujourd'hui. Pendant dix ans, l'industrie du cinéma a été un pilier de la Révolution cubaine, mais  le durcissement du régime et la récession économique ont précipité son déclin. Cinquante ans plus tard, il ne reste plus qu'une douzaine de salles de cinéma à La Havane, tandis qu'une nouvelle génération de cinéastes audacieux se bat pour l'existence même du cinéma cubain. du cinéma révolutionnaire cubain à travers les souvenirs d'un chœur de cinéastes plus âgés, comme Luciano Castillo, le directeur des archives nationales du film, alors qu'il se démène pour la préservation de cet héritage culturel en ruine, et à travers un groupe de jeunes cinéastes cubains luttant pour faire leur premier long métrage. 

LONG MÉTRAGE

FRANCE

80 minutes

ÉCRIT PAR : 

 

DOP : 

SON : 

MONTAGE : 

PRODUCTION : 

PRODUCTEURS ASSOCIÉS :

COMPOSITEUR :  

DARIUS KAUFMANN, EYTAN JAN &

ANTOINE GOLDET

NINA BERNFELD

THOMAS VAN POTTELBERGE 

FRANCK NAKACHE

ANTOINE GOLDET 

DEA GJINOVCI, KAVAD 

RENÉ BAÑOS

RÉALISÉ PAR

DARIUS KAUFMANN

Né à Fontainebleau en 1993, il a grandi à Paris et y vit actuellement. Après ses études, il part vivre à New York et y travaille comme photographe, principalement dans le journalisme. En 2014, il commence à travailler sur son premier long métrage documentaire « Dans la chaleur des années froides » avec Amok films, à Cuba. En 2017, il retourne à New York pour débuter son 2e long métrage documentaire « Soy Immortal ». Tous deux sont en production et devraient sortir en 2022. En 2020, il prépare le tournage de "Bronze" au Brésil et en Allemagne, tous deux impliqués dans le changement social et politique de ces deux pays.

EYTAN JAN

D'abord photographe de mode, il découvre en 2014 l'exercice du portrait et du reportage à travers le magazine I HEART. Il a notamment fait sa marque en Inde, dans l'Himalaya du Népal, ou en Ecosse pour rapporter des portraits d'artistes et d'indigènes. Depuis cette époque, l'art du portrait ne le quitte plus et il multiplie les collaborations, travaille pour des magazines comme Les Inrockuptibles ou pour des pochettes d'albums de musique classique. Talentueux, son travail se nourrit des exigences esthétiques et des codes du luxe. Eytan a fait connaissance avec le cinéma documentaire à travers le groupe musical « THE LEMONS ». Pris par la passion de ce que peut offrir l'outil vidéo, il réalise plusieurs films. 

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